Le dopage

     Les principaux utilisateurs des dopants sont les sportifs. Le sport le plus concernés par la consommation de dopants est le cyclisme. En effet le cyclisme se trouve sur la première place du podium et compte plus de 13 % de contrôles positifs réalisé au sein des 25 fédérations de sport concernant le vélocipédique. Le cyclisme n'est pas le seul sport concerné par cette pratique mais il y a l’haltérophilie, la musculation, la force athlétique et le culturisme qui se retrouve en deuxième position avec 8,7% des contrôles positifs. Et pour compléter ce podium on retrouve l’athlétisme (7,2%), le football (7%) et le rugby (6,5%).

            Les sportifs ont recourt au dopage de façon a amélioré leurs performances. : « Le problème de fond, c'est qu'à partir du moment où l'on est sportif professionnel, le but est d'être le meilleur. »Propos recueillit par Eric Maitrot. On comprend que dans le monde du sport on veut être le meilleur. Étant donné qu'un sportifs pense que son voisin est dope alors tout le monde se dope pour avoir les meilleurs résultats. Mais il y a aussi des enjeux économiques, comme le dis Jean-Bernard Mest (Directeur technique à l'Union cycliste briochine) : « Pour avoir de l'argent, les équipes doivent avoir des résultats, sinon, les sponsors nous lâchent. » Si on comprend bien, si les résultats ne sont pas ceux attendus, le budget du club risque d’être affecté. Dans ces conditions, peu de dirigeants peuvent résister à la pression. Quand il faut des résultats et rapidement, il est nécessaire de transformer les coureurs en "machines de guerre". De nos jours les footballeurs, rugbyman, ont un emploi du temps surchargé, ce qui les entraînent a la consommations de certains dopants. En revanche cette hypothèse ne fonctionne pas pour les coureurs, qui eux,  ont une course par an. Joost Heystek van der Westhuizen était un ancien rugbyman international. Vainqueur de la coupe du Monde 1995. Ce dernier a eu recours au dopage.